Les Voirons

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Vivre aux Voirons

A quelques kilomètres seulement de Genève, le secteur des Voirons propose un cadre de vie privilégié, peuplés d’une faune et d’une flore diversifiée, faisant le bonheur des amoureux de la nature. Ses villages et communes offrent une qualité de vie supérieur au coeur du Genevois, avec ses commerces, écoles, transports publics, et activités en plein air.  Ses villages se situe souvent en lisière du foret et le secteur propose un multitude de chemins de randonnée et VTT.  Une exemple de la convivialité proposé par les voirons est le marché en plein air proposé tous les samedis à Lucinges. L’accès aux pistes de ski et grands axes routiers permettent un va et vient pratique et efficace. En somme, une localité de plus en plus attractive et demandée de par les temps qui courent.

Vivre aux Voirons, c’est profiter à l’année de cette nature généreuse qui offre autant d’activités en hiver qu’en été. Les Voirons permettent de jouir des loisirs de montagne tout en habitant un territoire accessible, aux portes de Genève et d’Annemasse. Le pied du massif se trouve à moins de 30 minutes de Saint-Julien-en-Genevois, ville à taille humaine au dynamisme toujours croissant. Les communes des Voirons, Lucinges, Cranves-Sales ou Arthaz-Pont-Notre-Dame, sont prisées pour leur cadre de vie de très haute qualité à quelques minutes de la métropole transfrontalière. La sylviculture énergétique permet à de nombreux logements et aux bâtiments municipaux de profiter d’un réseau de chaleur renouvelable et soutien de l’économie locale. Le territoire des Voirons recèle des biens d’exception, prisés pour leur accessibilité et pour leur environnement. C’est une destination idéale pour profiter d’extérieurs dégagés et de vues sublimes sur le Léman, à 25 minutes du centre de Genève et 15 minutes d’Annemasse.

Les incontournables des Voirons 

Les Voirons s’étendent sur les territoires d’une dizaine de communes haut-savoyardes, dont plusieurs font partie de l’agglomération du Grand Genève. La montagne des Voirons inclut ainsi les communes de Lucinges, Boëge et Saint-André-de-Boëge, Fillinges, Machilly, Saint-Cergues, Cranves-Sales, Bonne, Saxel et Bons-en-Chablais. Plus de la moitié du territoire est consacré à la sylviculture d’épicéa. Habitat crucial pour le lynx, la montagne des Voirons est en partie protégée par un classement Natura 2000, principalement autour de la crête qui culmine à 1480 mètres d’altitude. Sur le territoire de Saint-Cergues, le gouffre à Partoi, ou Kro d’Éwero, est un site prisé pour la spéléologie. Les Voirons sont appréciées pour leurs beaux circuits de randonnée ponctués de remarquables points de vue sur les pays environnants, notamment sur les Alpes, le Salève ou le lac Léman. Parmi les boucles les plus réputées figure l’incontournable circuit du monastère et du Signal des Voirons : 4 heures de marche permettent d’accéder, en passant par une cascade, au sommet de la montagne qui offre un panorama unique : le regard s’étend jusqu’au Jura, à la chaîne du mont-Blanc, au Léman et à Genève. Au retour, le sentier passe par les ruines du château de Rocafort. 

Aux origines des Voirons

Montagnes des Préalpes, les Voirons se dressent à 10 km environ d’Annemasse et de Genève, dans l’ancienne province du Chablais. Exploitées par les Romains dans l’antiquité pour leurs sources qui alimentaient Genève en eau, les montagnes des Voirons ont constitué un ancien lieu de culte païen. La situation dominante du territoire, qui offre un panorama ouvert sur le Faucigny, le Chablais et le Genevois, a fait des Voirons un site privilégié pour l’édification de bâtiments de défense, comme le château de Rocafort construit à la fin du 11ᵉ siècle pour protéger le comté de Savoie. Les Voirons ont été aussi choisies comme lieu de retraite par plusieurs communautés religieuses : la chapelle et l’ermitage dominicain Notre-Dame-des-Voirons reconstruits par saint François de Sales entre le 16ᵉ et le 17ᵉ siècle après une invasion des Huguenots, la chapelle Notre-Dame du Sacré-Cœur érigée au 19ᵉ siècle, et le monastère de Notre-Dame de la Gloire-Dieu construit au 20ᵉ siècle pour les sœurs de Bethléem.